La Grande-Bretagne et la Corée du Sud ont convenu de prolonger une période de droits de douane faibles ou nuls sur le commerce bilatéral de produits comportant des pièces provenant de l’Union européenne. Cette décision donne un coup de pouce à l’industrie automobile, qui aurait autrement été confrontée à des droits de douane élevés à partir du 1er janvier sur les exportations de produits fabriqués à partir de composants de l’UE, ainsi que sur les produits expédiés via l’UE.

Cet accord est crucial pour des entreprises telles que les fabricants de produits alimentaires et de boissons et les constructeurs automobiles, qui auraient pu voir les prix de leurs produits, comme les voitures électriques, augmenter en raison des droits de douane.

Le commerce annuel entre la Grande-Bretagne et la Corée du Sud représente 18 milliards de livres sterling (21,9 milliards de dollars), ce qui souligne l’importance de cet accord pour les deux pays. Les deux parties entameront également des pourparlers cette année en vue d’un nouvel accord commercial, qui remplacera l’accord actuel qui a été reconduit depuis l’adhésion de la Grande-Bretagne à l’Union européenne.

Le ministre britannique du commerce international, Nigel Huddleston, a salué cette prolongation de la période d’exemption tarifaire, soulignant qu’elle apportera une certitude bienvenue aux entreprises britanniques. De même, Mike Hawes, directeur de l’organisme professionnel de l’industrie automobile britannique, a souligné que tout nouveau droit de douane aurait été préjudiciable aux deux parties. Il a également exprimé son soutien aux négociations en cours en vue d’un accord commercial modernisé, qui stimulerait le commerce des véhicules électriques et des technologies connexes.

Cet accord entre la Grande-Bretagne et la Corée du Sud est un exemple de la volonté de ces deux pays de maintenir des relations commerciales étroites malgré les défis posés par la sortie de la Grande-Bretagne de l’Union européenne. Il démontre également l’importance du secteur automobile pour l’économie britannique et la volonté des deux pays de soutenir cette industrie clé.

Il est essentiel de noter que cet article a été traduit automatiquement et qu’il s’agit d’une interprétation de son contenu original. Les sources utilisées pour cet article sont Reuters et les reportages de Sachin Ravikumar, William James et Louise Heavens.

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